•  

     

     

    J'ai eu la chance de rencontrer Nél Frédéric Audouard lors de mon séjour en Aveyron

    et de voyager pendant une heure au son de ses instruments

     

    Si vous croisez son chemin, n'hésitez pas, suivez le pour un moment de guérison et de méditation sonore...

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

    Maintenant presque tout ceux que j'ai aimés et que je ne comprenais pas du temps de ma jeunesse sont morts, même Jessi ;

    mais je cherche encore à les connaître.

     

    Bien sûr aujourd'hui, je suis vieux et je ne vaux plus grand chose comme pêcheur.

    Le plus souvent je pêche seul dans les grandes rivières, même si quelques amis pensent que ce n'est guère raisonnable.

     

    Mais lorsque je suis seul dans le demi jour du canyon, toute existence semble s'estomper et ne faire qu'un avec mon être, mon âme, mes souvenirs

    et avec la "Big Blackfoot River" et un rythme à quatre temps et l'espoir qu'un poisson se montre.

     

    A la longue tous les souvenirs se fondent en un seul, comme cette rivière qui coule au cœur de ma vie.

     

    La rivière a creusé son lit à l'époque du grand déluge, et court sur ces rochers depuis l'origine des temps.

    Certains d'entre eux portent la trace de gouttes de pluie immémoriales.

    Sous les rochers gisent les paroles,

    et certaines de ces paroles sont les leurs.

     

    Je suis hanté par les eaux...

     

     (L'esprit LOLO)

    A Mon Ami Lolo

    QUELQUE PART EN AVEYRON....

    A Mon Ami Lolo

     

    A Mon Ami Lolo

    "Pour info, ma "Big Blackfoot River" est tout simplement La Sorgues du côté de Fondamente...

    Bizzs LOLO"

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    LES "ZALPAGAS" DE MON AMI LOLO 

      

    Les Zalpagas

     

    Laurent, passionné de sa région depuis plus de 50 ans, nouvellement diplômé en animation et guide de randonnée,

     vous propose de découvrir les alpagas à travers des marches douces dans le département de l'Aveyron.

    Après des études en géologie, il travaille 30 ans en ganterie (manufacture de gants de cuir pour les marques de luxe)

    Tout jeune il se passionne pour la spéléologie, les fossiles, l'archéologie, la nature et les grands espaces des Causses.

    Il a le goût de la liberté, les yeux remplis des beautés de là bas, les mains patinées par la pierre, le bois et les cuirs.

     

     

     

    Les ZalpagasLes Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Eux sont Rivage et Skippy.

    Ils semblent sourire à la vie et au monde,

    toujours présents à ceux qui les entourent. 

     

     

     

     

    Si vous passez par Millau...

     

     

     

    Pour connaître les thèmes des sorties, voir le calendrier des réservations

    www.zalpagas.com

     

     

    Deux formules vous sont proposées

    2 à 3 heures de découverte à partir de 4 ans 

    La découverte alpagas 2 à 3 heures comprpend peu de marche.

    L'activité se tient auprès du lieu de rendez-vous, dans un rayon de 30 kms autour de Millau

    Sortie 4 à 5 heures à partir de 6 ans

    La sortie Alpagas vous conduit vers des découvertes variées.

    (sorite de nuit, traces de dinosaures, producteurs locaux, tout en partageant un pique nique ou un goûter.

     

     

     

     

     

    Les Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

    Les Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

    Garde barrière, un métier complètement disparu...

     

    et c'est d'ailleurs sur l'ancienne voie ferrée de Saint Affrique en Aveyron que je vous emmène...

    Aménagée en piste cyclable, des panneaux explicatifs rappellent aux touristes

    ce qu'était le métier de garde barrière...

     

     

    LES LOCOMOTIVES

     

    Jusqu'aux années 1950, chaque locomotive à vapeur était conduite par un chauffeur et un mécanicien.

    On les appelait "les roulants".

    Durant toute la période de la traction vapeur, ces "gueules noires" étaient directement exposées à la poussière du charbon,

    à la fumée et aux effluves d'huile brulée de ces machines.

    Chaque matin, le conducteur allumait le feu 4 ou 5 heures avant le départ avec quelques fagots de bois et entre 200 à 300 kg de charbon.

    Pendant ce temps là, le mécanicien se faufilait sous les essieux, burette d'huile à la main.

     

     

     

     

     

     

     LES MOULINS

     

     

     


      

     

     

    Pour arriver à Saint-Affrique,        le chemin de fer devait passer    par la vallée du ruisseau du Galatrave,

    également appelé ruisseau de Vailhauzy.

     

     

     

     

     

     

    Saint Affrique est assurément la ville de l'Aveyron à disposer du plus grand nombre de moulins.

    Sur le Galatrave, on dénombre 16 sites de moulins à eau sur une distance de seulement 4 kilomètres.

    Situé à seulement 1.5 kilomères des faubourgs sud de la ville,

    le Galatrave  était l'un des lieux les plus disputés pour la conquête de l'énergie au cours du XIXème siècle.

    Les moulins avaient plusieurs fonctions : usines hydro-électriques, moulin à blé ou à huile, pour broyer le plâtre,

    moulin à tan (pour extraire le tanin des écorces de bois) moulin à aiguiser.

    La vallée était un véritable poumon économique qui a su profiter du désenclavement apporté par le chemin de fer.

     

     

    AUTOUR DES PASSAGES A NIVEAUX 

     

     

     

    Le long du chemin de fer, les bords des voies des petites lignes étaient très vivants et encombrés.

    Cela ne ressemblait en rien à l'image que l'on se fait des voies avec ballaste et herbes séchées.

     

      

    La voie était ponctuée par les maisons des gardes-barrières,

    des passages à niveau où souvent les familles habitaient.

    D'un côté de la voie, il y avait les poteaux pour le téléphone qui maintenait un contact avec la gare.

    A la maison des garde barrières, il y avait une boîte de pétards qui servait pour prévenir d'un problème sur la voie.

    Dans ce cas, on installait les pétards sur les rails :

    5 côté mécanicien et 3 côté conducteur. En explosant, ils indiquaient d'arrêter immédiatement le train.

     

    Durant la seconde guerre mondiale, avec la pénurie de nourriture, les bords des voies étaient cultivés.

    On plantait, sur une bande de 2.5 mètres de large et de 50 mètres de longueur, des courges, des céréales,

    des pommes de terre. Une année, les doryphores avaient envahi les cultures et on envoyait les enfants enlever les bestioles

    pour tenter de sauver une faible récolte.

     

     

     

     

     LA PLACE DES FEMMES

     

     

     

     

     

     

     

    Dès 1866, les femmes représentent 7 % des effectifs des personnels des chemins de fer.

    Avec le développement des lignes, les compagnies se mettent à confier à moindre coût,

    des emplois à des femmes ou des veuves d'agents du chemin de fer.

     

     

    La profession la plus connue est celle de garde-barrière.

    Bel avantage pour les compagnies qui libèrent le mari cantonnier pour l'entretien des voies

    pendant que les femmes restent aux passages à niveau.

    Elles sont aussi receveuses de billet et avec la guerre de 14-18 leurs effectifs augmentent.

    En 1914, 29000 employées sont féminines et à 90 % des garde-barrières.

    Contrairement à aujourd'hui, les barrières restaient Fermées en permanence.

     

     

    Ces femmes devaient donc  pousser les lourdes barrières à roulettes

    pour ouvrir aux passages des attelages et autres troupeaux de brebis.

    De plus, elles devaient également assurer l'entretien de certaines lanternes en amont de la gare

    tout en restant attentives au moindre incident sur la voie.

     

     

     

     

     

    LA FIN DE L'AVENTURE

    Dès les années 1920, le chemin de fer perd de son attrait avec le développement des réseaux routiers,

    mais c'est à partir de la fin de la seconde guerre mondiale que la ligne Tournemire-Saint Affrique va connaître une lente agonie.

    En 1941 la garde des passages à niveau est supprimée.

    Alors que la voiture et les infrastructures routières se développent fortement, la SNCF  se désengage petit à petit.

    L'entretien des voies est de plus en plus irrégulier et l'état général des équipements se détériore.

    Le 25 janvier 1991, le dernier train quitte la gare de Saint Affrique.

    Aujourd'hui les railles ont été déposées et une voie verte a vu le jour.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Construite en Russie, transportée et remontée en France par de jeunes charpentiers russes en 1994,

    se trouve cachée dans la forêt de Pessales en Aveyron,  la chapelle russe de Sylvanès...

     

    o

     

     

    Construite à la demande du Père André Gouzes, la confection du monument a débuté dans l'Est.

    Le bois de pins a été coupé en Russie. 2500 mètres cubes de bois ont été abattus.

    La technique de construction est, elle aussi soviétique.

    Les rondins de bois sont empilés les uns sur les autres selon une ancienne tradition, afin d'empêcher l'humidité de s'infiltrer.

    Assemblée une première fois en Russie dans la forêt de Khirov (à 700 kms à l'Est de Moscou), puis démontée, toutes ses pièces étant numérotées,

    elle est arrivée en train à Millau.

    En 1994, la traversée de l'Europe commence. Au total 500 tonnes de bois sont acheminées de la Russie à la gare de Millau avec l'aide de la SNCF.

    Une épopée de plus de 4000 km. La chapelle est remontée par des ouvriers russes et des locaux.

     la chapelle impressionne. "C'était une véritable cathédrale !" témoigne le Père André Gouzes

    La chapelle orthodoxe a créé de solides liens : "Entre les flots de vodka, il y avait une réelle amitié".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Une visite à la fois surprenante et émouvante....

    Perdue en pleine nature dans un calme qui appelle au recueillement....

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     Lire cet article en écoutant la musique.... et vous y serez....

     

      

     

    Ce n'est pas une maison bleue, ce n'est pas San Francisco...

    C'est tout simplement chez Lolo et Brigitte à St Rome de Tarn

    Une ambiance chaleureuse faite de simplicité et d'amitié...

    Une grande rencontre de ce mois de mai...

    Merci

     

     

     

    C'est une maison bleue, adossée à la colline

    On y vient à pied, on ne frappe pas,

    ceux qui vivent là ont jeté la clé...

    On se retrouve ensemble, après des années de route

    Et l'on vient s'asseoir autour du repas

    tout le monde est là, à cinq heures du soir...

     

                                                                                                                                                                                

     

    Chez Lolo et Brigitte....Chez Lolo et Brigitte....Chez Lolo et Brigitte....

     

     

     

     Nageant dans le brouillard, enlacés, roulant dans l'herbe,

     

    On écoutera Tom à la guitare

    Phil à la Kena, jusqu'à la nuit noir...

    Un autre arrivera, pour nous dire des nouvelles

    D'un qui reviendra dans un an ou deux

    Puisqu'il est heureux, on s'endormira...

     

     

    C'est une maison bleue, accrochée à ma mémoire,

    On y vient à pied, on ne frappe pas

    ceux qui vivent là, ont jeté la clef

    Peuplée de cheveux longs

    De grands lits et de musique,

    peuplée de lumière et peuplée de fous

    Elle sera dernière à rester debout...

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    LA GANTERIE DES CAUSSES - MILLAU

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "la ganterie des causses"

     

     

    Millau bénéficiait d'une matière première essentielle :

    Les peaux des millions d'agneaux des brebis élevées pour leur lait sur le plateau du Larzac,

    à proximité des grottes de Roquefort.

     

     

     

    Carte de coloris, début du XXè siècle

     

    Berceau mondial du gant, la ville de Millau a vu naître la Maison Causse en 1892

     

    Aujourd'hui la dernière manufacture de gants de peau en activité  à Millau,

    la Maison Causse fournit les plus grands noms de la mode comme

    Hermès, Chanel ou Louis Vuitton et gante de nombreuses clébrités telles que

    Karl Lagerfeld, Madonna et Kylie Minogue.

    Certaines paires, très sophistiquées, peuvent atteindre 3 000 euros.

     

    Causse Gantier a obtenu en 2006 le label

    "Entreprise du patrimoine vivant"

    décerné par l'Etat français aux entreprises détentrices d'un savoir-faire rare et ancestral.

     

     

     

    A Millau, haut lieu historique de fabrication de la peau et du gant,

    les mégissiers connaissent depuis des siècles les secrets d'une matière façonnée pour que le gant "fasse peau" sur la main.

    Agneau, pécari, cerf, python, autruche...

     

     

     

     

    Le Savoir Faire Français....

     

     

    Le Savoir Faire Français....

     

     

      

    Dans les mains des artisans,

    il faudra pour certains modèles plus de cent opérations pour que, petit à petit, la peau se transforme :

    mettre en passe, mettre à l'humide, tirer, dépecer, étavillonner, couper ;

     

     

     

     

     

    Et puis coudre sur les machines sellier, brosser ou piqué anglais ou bien à la main ;

    et aussi contrôler, dresser, appairer...

     

    Certains outils modestes mais précieux, datant de la création en 1892 sont toujours utilisés pour la confection d'une paire de gants :

    pour le coupeur, ciseau, règle en buis ou "pied de Charlemagne, couteau "à déborder" sans tranchant.

     Résultat de recherche d'images pour "la ganterie des causses"

     

    Pour la couturière, les machines à coudre et les fuseaux  qu'on utilisait déjà au début du siècle.

     

    Au fil du temps et des évolutions technologiques, de nouveaux outils ont été développés.

    Cependant, le gant reste entièrement fait à la main :

    la mécanisation a fait son apparition depuis bien longtemps, tandis qu'aucune automatisation n'est envisageable.

     

    C'est toujours le geste de l'homme qui dirige et assure le "bel ouvrage".

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires
  •  

     

     

    La Tisane à Lolo

     

     

    LA TISANE A LOLO

     

    Genet

    Violette

    Rose

    Géranium

    Menthe

    Thym

    Romarin

    Sauge

    Serpolet


    votre commentaire
  •  

     

    A mon ami blogueur " Lolo"

     

     

    Un livre imprimé pour sceller notre belle amitié...

     

    En recopiant ton blog, j'ai rencontré l'amitié, la simplicité

    et j'ai aussi appris à comprendre ce langage si particulier "Le Laurent".

     

    Un livre imprimé pour sceller notre belle amitié...

     

     

    Je me suis régalée de fleurs, de vues vertigineuses, de photos grandioses et natures, de poésie...

    Quelle curieuse rencontre que la nôtre....

     

    Un livre imprimé pour sceller notre belle amitié...

     

    Et si un jour, pour une raison ou une autre, on se perd de clavier,

    il restera ce petit livret dans un coin de nos bibliothèques respectives...

    Je te laisse à la lecture...

    Bizzs de 19

     

    PATOU

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    1 commentaire
  •  

     

    QUAND LES MEILLEURS MOMENTS SONT IMMORTALISES.....

     

    RENCONTRES EN AVEYRON,

     

    SOUVENIRS D'UN ETE PAS COMME LES AUTRES....

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     


    2 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique