•  

     

     

    Michel Cordes est décédé....

     

    Triste nouvelle ce soir...

    20 octobre 1945 - 5 mai 2023

     

     

    Le comédien Michel Cordes, 77 ans, qui incarnait Roland Marci dans la série "Plus belle la vie",

    a été retrouvé mort par arme à feu dans sa résidence de Grabels dans l'Hérault.

    Une lettre aurait été retrouvée chez lui, laissant entrevoir la thèse d'un suicide...

     

     

     

    Triste nouvelle ce soir...

     

     

    Triste nouvelle ce soir...

     

     

    Michel Cordes s'etait fait connaître du grand public de par son rôle dans la série "Plus belle la vie"

    où il a incarné pendant 17 ans Roland Marci, le patron jovial du bar du Mistral

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

    LES "ZALPAGAS" DE MON AMI LOLO 

      

    Les Zalpagas

     

    Laurent, passionné de sa région depuis plus de 50 ans, nouvellement diplômé en animation et guide de randonnée,

     vous propose de découvrir les alpagas à travers des marches douces dans le département de l'Aveyron.

    Après des études en géologie, il travaille 30 ans en ganterie (manufacture de gants de cuir pour les marques de luxe)

    Tout jeune il se passionne pour la spéléologie, les fossiles, l'archéologie, la nature et les grands espaces des Causses.

    Il a le goût de la liberté, les yeux remplis des beautés de là bas, les mains patinées par la pierre, le bois et les cuirs.

     

     

     

    Les ZalpagasLes Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Eux sont Rivage et Skippy.

    Ils semblent sourire à la vie et au monde,

    toujours présents à ceux qui les entourent. 

     

     

     

     

    Si vous passez par Millau...

     

     

     

    Pour connaître les thèmes des sorties, voir le calendrier des réservations

    www.zalpagas.com

     

     

    Deux formules vous sont proposées

    2 à 3 heures de découverte à partir de 4 ans 

    La découverte alpagas 2 à 3 heures comprpend peu de marche.

    L'activité se tient auprès du lieu de rendez-vous, dans un rayon de 30 kms autour de Millau

    Sortie 4 à 5 heures à partir de 6 ans

    La sortie Alpagas vous conduit vers des découvertes variées.

    (sorite de nuit, traces de dinosaures, producteurs locaux, tout en partageant un pique nique ou un goûter.

     

     

     

     

     

    Les Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

    Les Zalpagas

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  •  

    Des centaines de milliers d'enfants juifs perdus au cœur de l'Europe...

     

     

    1945 - Les Enfants du Chaos

     

    Ils doivent fuir l'Europe pour survivre, déplacés, arrachés à leur famille d'adoption ou utilisés pour repeupler le pays...

     

    Ronia Hofman, George Reinitz, Gisela Magula ou Janusz Bukorzycki étaient des enfants, voire des nourrissons au sortir de la guerre.

    Quand le monde célèbrait la paix, eux continuaient d'endurer des épreuves.

    Orphelins polonais ou hongrois, privés de leurs parents par la Shoah par balles ou  exécutés dans les camps de la mort,

    nouveaux nés pris en charge dans l'un de ces Lebensborn appelés à fournir de bons aryens au Reich

    ou gamins arrachés à leur famille pour servir les nazis au sein d'un régiment.

    Ces enfants du chaos, ballotés au gré des politiques nationales deviennent un enjeu pour les pays européens en pleine reconstruction...

     

    Disponible en Replay sur France 5 jusqu'en juin...

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     

     

     

     

    Garde barrière, un métier complètement disparu...

     

    et c'est d'ailleurs sur l'ancienne voie ferrée de Saint Affrique en Aveyron que je vous emmène...

    Aménagée en piste cyclable, des panneaux explicatifs rappellent aux touristes

    ce qu'était le métier de garde barrière...

     

     

    LES LOCOMOTIVES

     

    Jusqu'aux années 1950, chaque locomotive à vapeur était conduite par un chauffeur et un mécanicien.

    On les appelait "les roulants".

    Durant toute la période de la traction vapeur, ces "gueules noires" étaient directement exposées à la poussière du charbon,

    à la fumée et aux effluves d'huile brulée de ces machines.

    Chaque matin, le conducteur allumait le feu 4 ou 5 heures avant le départ avec quelques fagots de bois et entre 200 à 300 kg de charbon.

    Pendant ce temps là, le mécanicien se faufilait sous les essieux, burette d'huile à la main.

     

     

     

     

     

     

     LES MOULINS

     

     

     


      

     

     

    Pour arriver à Saint-Affrique,        le chemin de fer devait passer    par la vallée du ruisseau du Galatrave,

    également appelé ruisseau de Vailhauzy.

     

     

     

     

     

     

    Saint Affrique est assurément la ville de l'Aveyron à disposer du plus grand nombre de moulins.

    Sur le Galatrave, on dénombre 16 sites de moulins à eau sur une distance de seulement 4 kilomètres.

    Situé à seulement 1.5 kilomères des faubourgs sud de la ville,

    le Galatrave  était l'un des lieux les plus disputés pour la conquête de l'énergie au cours du XIXème siècle.

    Les moulins avaient plusieurs fonctions : usines hydro-électriques, moulin à blé ou à huile, pour broyer le plâtre,

    moulin à tan (pour extraire le tanin des écorces de bois) moulin à aiguiser.

    La vallée était un véritable poumon économique qui a su profiter du désenclavement apporté par le chemin de fer.

     

     

    AUTOUR DES PASSAGES A NIVEAUX 

     

     

     

    Le long du chemin de fer, les bords des voies des petites lignes étaient très vivants et encombrés.

    Cela ne ressemblait en rien à l'image que l'on se fait des voies avec ballaste et herbes séchées.

     

      

    La voie était ponctuée par les maisons des gardes-barrières,

    des passages à niveau où souvent les familles habitaient.

    D'un côté de la voie, il y avait les poteaux pour le téléphone qui maintenait un contact avec la gare.

    A la maison des garde barrières, il y avait une boîte de pétards qui servait pour prévenir d'un problème sur la voie.

    Dans ce cas, on installait les pétards sur les rails :

    5 côté mécanicien et 3 côté conducteur. En explosant, ils indiquaient d'arrêter immédiatement le train.

     

    Durant la seconde guerre mondiale, avec la pénurie de nourriture, les bords des voies étaient cultivés.

    On plantait, sur une bande de 2.5 mètres de large et de 50 mètres de longueur, des courges, des céréales,

    des pommes de terre. Une année, les doryphores avaient envahi les cultures et on envoyait les enfants enlever les bestioles

    pour tenter de sauver une faible récolte.

     

     

     

     

     LA PLACE DES FEMMES

     

     

     

     

     

     

     

    Dès 1866, les femmes représentent 7 % des effectifs des personnels des chemins de fer.

    Avec le développement des lignes, les compagnies se mettent à confier à moindre coût,

    des emplois à des femmes ou des veuves d'agents du chemin de fer.

     

     

    La profession la plus connue est celle de garde-barrière.

    Bel avantage pour les compagnies qui libèrent le mari cantonnier pour l'entretien des voies

    pendant que les femmes restent aux passages à niveau.

    Elles sont aussi receveuses de billet et avec la guerre de 14-18 leurs effectifs augmentent.

    En 1914, 29000 employées sont féminines et à 90 % des garde-barrières.

    Contrairement à aujourd'hui, les barrières restaient Fermées en permanence.

     

     

    Ces femmes devaient donc  pousser les lourdes barrières à roulettes

    pour ouvrir aux passages des attelages et autres troupeaux de brebis.

    De plus, elles devaient également assurer l'entretien de certaines lanternes en amont de la gare

    tout en restant attentives au moindre incident sur la voie.

     

     

     

     

     

    LA FIN DE L'AVENTURE

    Dès les années 1920, le chemin de fer perd de son attrait avec le développement des réseaux routiers,

    mais c'est à partir de la fin de la seconde guerre mondiale que la ligne Tournemire-Saint Affrique va connaître une lente agonie.

    En 1941 la garde des passages à niveau est supprimée.

    Alors que la voiture et les infrastructures routières se développent fortement, la SNCF  se désengage petit à petit.

    L'entretien des voies est de plus en plus irrégulier et l'état général des équipements se détériore.

    Le 25 janvier 1991, le dernier train quitte la gare de Saint Affrique.

    Aujourd'hui les railles ont été déposées et une voie verte a vu le jour.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • NAJOUA BELYZEL - GABRIEL

     

     

     

    PIERRE DE MAERE - ENFANT DE


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •  

    "PS : Je t'aime" de Christophe Willem,

    un single écrit avec Slimane.

    Une lettre d'amour au cachet pop sur laquelle il choisit, aujourd'hui, de coucher ses vérités.

    Et de les faire entendre.

    Il est de ces conversations que l'on préfère reporter,

    qui se cachent de la lumière,

    mais finissent par s'exprimer sur le papier.

     


    votre commentaire
  •  

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Les graines de roses trémières

    récoltées et mises en pot en fin d'été

    ont bien levé pour certaines, sont en urgence absolue pour les autres.

     

     

     

     

     

     J'ai rempoté toutes les pousses viables...

    Elles sont en souffrance depuis janvier, l'hiver est long

    A suivre au printemps.

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Cette année j'ai découvert le Point compté.

    J'ai repéré ce modèle dans une revue et je me suis lancée.

    Pressée de l'encadrer et de l'accrocher dans ma petite maison de rivière dans l'Aveyron...

    Je vous ferai suivre les photos du rendu. 

     

     


    votre commentaire