Le 13 novembre 2015 une série d'attaques terroristes a ensanglanté Paris.

En janvier dernier, la guerre avait été déclarée, maintenant elle s'installe,

aveugle, barbare, abominable...

 

François Hollande décrète l'Etat d'Urgence.

 

 

 

Notre pays a été la cible d'une attaque concertée de commandos kamikazes.

 

 

Huit frères portant des ceintures d'explosifs et des fusils d'assaut

ont pris pour cibles des endroits minutieusement choisis.

 

Le BAR "Le Carillon"

 

 

 

Le Restaurant "Le Petit Cambodge"

 

 

 

et Le BATACLAN.

 

 

Trois kamikazes s'étaient faits exploser peu de temps avant,

à proximité du stade de France.

 

 

 

On comptait dans un premier temps, 129 morts, 415 blessés dont 99 en état d'urgence absolue.

 

 

 

 

 

Le président a décrété trois jours de deuil national.

 

 

 

 

 

Le contrôle aux frontières a été rétabli.

Ces attentats ont été revendiqués par l'organisation Etats Islamiques.

 

 

 

 

TEMOIGNAGE :

 

Le vendredi 13 novembre vers 19h40, Mohamed fume une cigarette,

quand une voiture noire attire son attention :

"Elle essayait de se garer mais avec difficultés".

Il décide alors d'aller parler au conducteur pour signaler qu'il bloque la sortie d'une garage.

"Ils m'ont regardé froidement, sans ouvrir la fenêtre. Ils avaient des têtes vraiment bizarres,

avec des yeux qui ressortaient... Ca m'a bloqué, ça m'a refroidi".

Mohamed rentre dans le restaurant mais continue à les observer.

Les feux sont éteints mais le moteur reste allumé.

La polo noire est immatriculée en Belgique.

 

 

 

Pas rassuré, Mohamed rentre chez lui plus tôt que d'habitude.

Lorsqu'il quitte les lieux vers 21h20, la voiture et ses occupants sont toujours là.

Quand il apprend pour les attaques du stade de France, Mohamed se décide à appeler la police.

Il réussit à joindre le 17 qui lui dit d'appeler le commissariat du XI eme arrondissement.

Mais le commando a déjà foncé sur le Bataclan,

et au bout du fil, personne ne semble encore le prendre au sérieux.

 

Le lendemain la police le rappellera.

Au 36 quai des orfèvres et confronté aux photos des kamikazes qui sont entrés dans le Bataclan,

il reconnaît les visages...