"L'Atelier du Père Noël"

Vitrine réalisée l'an passé

que vous pouvez retrouvé sur mon autre blog

"Ma vie en miniatures" 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Vaisselier.... 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Né en 1938 en Algérie, Pierre Rabhi était écrivain, agriculteur, écologiste....

Il rêvait d'un monde meilleur, en osmose avec la terre. 

Il s'est éteint à l'âge de 83 ans des suites d'une hémorragie cérébrale.

 

 

Il s'était installé en 1961 dans une ferme en Ardèche.

Il restera comme l'un des pionniers de l'agro écologie pratique agricole visant à régénérer le milieu naturel

en excluant pesticides et engrais chimiques.

Grand admirateur de Socrate, il disait que "chaque être humain doit tenter de se connaître de façon à se changer positivement".

Avec Cyril Dion, l'auteur du documentaire militant à succès "Demain",

Pierre Rabhi avait cofondé le mouvement citoyen des Colibris, qui appelle aux actions locales,

comme les jardins partagés, les fermes pédagogiques ou encore les circuits d'approvisionnements courts.

 

 

 

 

 

 

"Il nous faudra bien répondre à notre véritable vocation, qui n'est pas de produire et de consommer sans fin,

mais d'aimer, d'admirer et de prendre soin de la vie sous toutes ses formes"

PIERRE RABHI

 

"La beauté qui sauvera le monde, c'est la générosité, le partage, la compassion,

toutes ces valeurs qui amènent à une énergie fabuleuse qui est celle de l'amour."

PIERRE RABHI

 

"En 1950, nous dépensions 75 % de nos revenus pour manger.

Aujourd'hui nous n'y allouons que 15 %, préférant acheter de la fausse nourriture pour investir le reste dans la technologie.

Si l'humanité ne revoit pas ses priorités, il ne restera pas grand monde en 2050".

PIERRE RABHI

 

 

 

 

 

 

 

Un vulgaire petit morceau de bois a attiré mon attention lors d'une promenade...

Trois petits coups de feutre et voilà un diablotin dans ma bibliothèque....

 

 

 

Quelques galets au bord de la Sorgue et voilà quatre oisillons sur une branche...

J'aime ce genre de déco très "nature"...

 

 

 

 

 

 

 

 

**** (4 étoiles)

 

l'Histoire

Québec, fin des années 60, Sylvette et Anglomard accueillent leur 14ème enfant : Aline.

Dans la famille Dieu, la musique est reine et quand Aline grandit on lui découvre un don,

elle a une voix en or.

Lorsqu'il entend cette voix, le producteur de musique Guy-Claude n'a plus qu'une idée en tête...

Faire d'Aline la plus grande chanteuse au monde.

Epaulée par sa famille et guidée par l'expérience puis l'amour naissant de Guy-Claude,

Ils vont ensemble écrire les pages d'un destin hors du commun.

 

 

Mon avis

Un beau film... J'aime beaucoup Céline Dion et son histoire alors je ne pouvais pas manquer ce film.

De plus Valérie Lemercier (Aline) et Sylvain Marcel (Guy Claude) sont exceptionnels.

Un bon moment de divertissement.

 

 

CASTING

 

Sylvain Marcel (Guy Claude)

 

Valérie  Lemercier (Aline)

 

Danielle Fichaud (Sylvette Dieu)

 

Roc LaFortune (Anglomard Dieu)

 

 

 

RESPIRE ENCORE

 

 

 

 

 

 

 

Le petit écolier se tripotait l'oreille,

Il avait oublié sa leçon de la veille,

 

Et ce grand tableau noir, le remplissait d'effroi.

L'accord du verbe avoir pour lui si maladroit,

C'était toute une histoire que son esprit rêveur,

Malgré sa bonne mémoire, n'emmagasinait pas.

Il y avait dans son cœur, d'autres choses que ça,

Il y avait le bonheur, de courir dans les bois.

 

 

 

 

Le petit écolier, aimait les herbes folles

Et les bougainvilliers, il n'aimait pas l'école,

Il préférait jouer, dans l'eau pure du ruisseau,

Au lieu d'être cloué, devant ce grand tableau.

Il faisait de son mieux, mais  n'y arrivait pas

Sans doute que le bon dieu, en lui tendant les bras

Lui avait réservé, ce bien joli métier,

L'enfant embarrassé, serait garde forestier.

 

"L'écolier embarrassé" 1908

Georges Geoffroy dit Géo

(1853 - 1924)

 

 

 

 

Entre la forêt de Mazzarin et la vallée de la Bar,

découvrez le secret du canal des Ardennes pour éviter les détours....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Emprunter la rue principale (D24) en direction de Malmy,

puis monter par la première rue à droite vers le lavoir, sur 150 m.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tourner dans la rue à droite et poursuivre la montée par le chemin herbeux.

Le chemin continue en lisière (point de vue sur la vallée de la Bar), puis entrer dans la forêt.

Prendre le chemin empierré qui s'élève à gauche en sous-bois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Au sommet, traverser la route forestière, puis suivre le sentier qui part en face légèrement sur la droite.

Descendre à travers la futaie puis le taillis

 

 

 

 Au pied de la colline,

tourner à droite et suivre le chemin en lisière de la forêt

jusqu'à l'écluse automatique de Saint-Aignan.

 

 

Juste après la maison éclusière,

tourner à droite et longer le canal.

Passer dans le tunnel et continuer par le chemin de halage jusqu'au pont d'Omicourt.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A l'écart de Saint-Aignan,

le tunnel abrite, sur quelque deux  cents mètres, le cours du canal des Ardennes depuis plus d'un siècle et demi.

 

 

 

 

 

A l'écart de Saint-Aignan, le tunnel abrite, sur quelque deux  cents mètres, le cours du canal des Ardennes depuis plus d'un siècle et demi.

Le canal lui-même a été achevé en 1835.

Il réunit la Seine au Rhin, par la Meuse et l'Aisne.

Son origine est située à Pont-à-Bar, en aval du confluent de la Bar qui l'alimente.

Pour compenser la différence de niveau qui le sépare de la Meuse, pas moins de trente trois écluses jalonnent son parcours ;

sept à la hauteur du Chesne et surtout, ving-six, à Montgon, peu avant Semuy où le canal rejoint l'Aisne.

Il devient ensuite un canal latéral de l'Aisne et quitte les Ardennes près de Neufchâtel (Aisne),

au terme d'un trajet de 96 kilomètres. Après les Ardennes il se prolonge jusqu'à Condé sur Aisne.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le dormeur du val

 

 

 

C'est un trou de verdure où chante une rivière,

Accrochant follement aux herbes des haillons

D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,

Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

 

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,

Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,

Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,

Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

 

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme

Sourirait un enfant malade, il fait un somme :

Nature, berce-le chaudement : il a froid.

 

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;

Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,

Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

 

Arthur Rimbaud.